Harcèlement sexuel ou moral, parole libérée chez Accenture ?

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Le harcèlement, parlons-en ! 

Tu hésites à en parler, et à qui ? DCLIC est là !

 

Selon les résultats de la dernière enquête « Conducts counts », 45% de tes collègues qui ont subi ou ont été témoins de harcèlement n’ont pas parlé !

 

D’après une étude menée par L’Organisation Internationale du Travail (OIT) sur 4,5 millions de salariés français entre 2017 et 2019 : 52 % de femmes ont été victimes de harcèlement sexuel au travail et 27% pour les hommes. Seulement 4 % de ces femmes ont porté plainte, et 1 % du côté des hommes.

 

Si tu es victime de harcèlement moral ou de harcèlement sexuel, Accenture est légalement dans l’obligation d’agir, de prendre des mesures non seulement pour te protéger mais pour sanctionner le harceleur, si le harcèlement est avéré (Article L1153-1 – Code du travail – Légifrance (legifrance.gouv.fr)

 

Alors dans ce cas, pourquoi autant de salariés préfèrent garder le silence ? La peur des représailles ? La crainte que l’enquête ne soit pas menée objectivement ?

 

L’équipe DCLIC comprend tout à fait tes réticences mais garder le silence n’est pas une solution. On ne sort jamais indemne après avoir vécu du harcèlement, qu’il soit moral ou sexuel, mais cela serait plus grave si cette situation restait secrète et non-sanctionnée. La reconnaissance de ton préjudice est une étape importante pour se reconstruire et aller de l’avant.

 

La référente CSE Accenture SAS sur le sujet de la prévention du harcèlement sexuel et des agissements sexistes fait partie de notre équipe, il s’agit de Yamina Nebhi. Elle pourra également t’aider si tu subis du harcèlement moral. A noter que le référent CSE est différent du référent côté ressources humaines.

 

N’hésite pas à la contacter, elle saura te conseiller et t’aider au mieux, ne reste pas isolé (e).

 

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